Le point de non-retour fut atteint au moment où, faisant rire ses acolytes, il envoya le chinois d’un geste brusque dans les bras de ses amis en semblant vouloir s’occuper du cas de la jeune chinoise.
- Arrêtez maintenant, ça suffit comme ça ! intervint alors le père de Carole d’une voix ferme tout en se postant au cœur de l’action.
- Mais tu es encore là toi ? râla l’homme balaise. Tu commences à nous chauffer les oreilles.
Ce disant, il bouscula d’une force monstrueuse Charles, l’envoyant quasiment valdinguer vers un coin de la pièce en faisant tomber deux tables au passage.
C’en était trop pour Carole qui bondit vers le sale type les poings rageurs en avant. L’homme ne se laissa pas atteindre et para facilement. En échange, il décocha une gifle monumentale à la jeune fille. Gifle qui n’en avait que le nom tant elle ressemblait plus à un coup de poing qui l’assomma à moitié.
- Tu vois ce qu’on fait aux petites filles mal élevées, ricana-t-il.
…
- « Je te défie d’y arriver », se dit-elle tout en se concentrant afin d’essayer d’évaluer parmi les quelques techniques qu’elle maîtrisait celle qu’elle devait utiliser.
Elle prit une légère pose de parade de coup afin d’éviter une autre claque comme celle qu’elle venait de prendre.
- Je dois lui couper la respiration avec l’attaque que je connais le mieux, se dit la jeune fille. Ne flanche pas.
Sentant la peur poindre son nez, elle voulait lancer l’attaque mais manquait de courage. Et si elle laissait tomber, les hommes allaient peut-être se reprendre et s’en aller ? Cette supposition était possible, mais ces hommes avaient déjà agressé trois personnes. Il n’était pas sûr qu’ils s’arrêtent là ! Frappe ma grande, frappe, frappe maintenant !
La jeune fille, morte de peur, utilisa alors sa phrase magique. Cette phrase qui ne supportait aucune contradiction : Fais-le immédiatement !
Le coup partit avec force et précision pour s’abattre exactement sur le sternum du grand costaud en même temps que son père hurla :
- Non, Carole, non !
- Arrêtez maintenant, ça suffit comme ça ! intervint alors le père de Carole d’une voix ferme tout en se postant au cœur de l’action.
- Mais tu es encore là toi ? râla l’homme balaise. Tu commences à nous chauffer les oreilles.
Ce disant, il bouscula d’une force monstrueuse Charles, l’envoyant quasiment valdinguer vers un coin de la pièce en faisant tomber deux tables au passage.
C’en était trop pour Carole qui bondit vers le sale type les poings rageurs en avant. L’homme ne se laissa pas atteindre et para facilement. En échange, il décocha une gifle monumentale à la jeune fille. Gifle qui n’en avait que le nom tant elle ressemblait plus à un coup de poing qui l’assomma à moitié.
- Tu vois ce qu’on fait aux petites filles mal élevées, ricana-t-il.
…
- « Je te défie d’y arriver », se dit-elle tout en se concentrant afin d’essayer d’évaluer parmi les quelques techniques qu’elle maîtrisait celle qu’elle devait utiliser.
Elle prit une légère pose de parade de coup afin d’éviter une autre claque comme celle qu’elle venait de prendre.
- Je dois lui couper la respiration avec l’attaque que je connais le mieux, se dit la jeune fille. Ne flanche pas.
Sentant la peur poindre son nez, elle voulait lancer l’attaque mais manquait de courage. Et si elle laissait tomber, les hommes allaient peut-être se reprendre et s’en aller ? Cette supposition était possible, mais ces hommes avaient déjà agressé trois personnes. Il n’était pas sûr qu’ils s’arrêtent là ! Frappe ma grande, frappe, frappe maintenant !
La jeune fille, morte de peur, utilisa alors sa phrase magique. Cette phrase qui ne supportait aucune contradiction : Fais-le immédiatement !
Le coup partit avec force et précision pour s’abattre exactement sur le sternum du grand costaud en même temps que son père hurla :
- Non, Carole, non !
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